Appel à projets locaux du CRDG : bilan 2016 …. avant l’édition 2017

Dans le cadre de ses missions et de ses programmes d’actions 2014-2016 et 2017-2019, le Contrat de rivière Dyle-Gette a reconduit son appel à projets auprès de ses partenaires, visant à l'amélioration de la biodiversité, de la qualité de l'eau et de la sensibilisation des cours d'eau et leurs abords.
Pour l’édition 2016, c’est en avril que l’appel à projets avait été transmis aux communes et associations partenaires du CRDG. A peine 8 mois plus tard, 9 communes et associations ont ainsi pu concrétiser leurs projets.

Concrètement, le CRDG a soutenu financièrement les projets à hauteur de max. 75% du coût de chaque projet, avec un plafond de 1.000 euros max. par projet. Certaines conditions particulières sont venues compléter l'octroi de l'aide du CRDG : apposition du logo du CRDG sur les panneaux didactiques, collaboration avec les PCDN en place ou les associations locales, entretien du matériel acquis, remise d’un calendrier des activités prévues, ... sans oublier un planning de procédures à respecter à la lettre.
Pour l’édition 2016, c'est un montant total de 7.650 euros qui a été accordé aux différents porteurs de projets.

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Visite guidée de la réserve naturelle du Ru Milhoux à l'occasion de la présentation des projets 2016 à la presse

C’est en février 2017 que les différents projets réalisés ont été présentés à la presse, à la réserve naturelle du Ru Milhoux à Maransart. Ce rendez-vous a permis aussi au CRDG de lancer officiellement l’édition 2017 de son appel à projets auprès de ses partenaires locaux.

C'est reparti pour 2017 ! Cette année, l'appel à projets du CRDG sera clôturé au 15 mai. Le CRDG soutiendra toujours 75% du coût total de chaque projet avec un même plafond de 1.000 euros. Pour pouvoir soutenir davantage de projets, le budget global a été revu à la hausse : 9.000 euros pour 2017. Les montants octroyés ne sont pas énormes certes, mais cela est suffisant pour enclencher la dynamique d'un projet local.

Nous sommes heureux de vous faire découvrir les 9 projets locaux soutenus par le CRDG durant l’année 2016 !

 1. dans le bassin Dyle-Gette : acquisition d’une débrousailleuse et accessoires pour la gestion des réserves naturelles de Natagora.

Association : Régionale Natagora BW (responsable : Julien Taymans, Président)
Montant : 837 euros

1 debrousailleuse roseliere
debrousailleuse roselière Marais de Genneville à St-Remy-Geest - Natagora_BW

Natagora BW est active sur l’ensemble du Brabant wallon. Cette association gère un pool d’outillage en vue de permettre les activités de gestion de ses réserves naturelles, indispensables au maintien et au développement de la biodiversité. La plupart des travaux d’entretien concernent des zones humides ou des abords de cours d’eau, notamment dans les réserves naturelles de Nysdam à La Hulpe (berges de l’Argentine, étangs, marais, roselière, prairie humide, bois marécageux, alignements de saules têtards,...), du Carpu et de la Grande Bruyère à Rixensart (berges de la Lasne, suintements tourbeux, ruisseaux, prairies humides, mares, bois marécageux,...), de la Marache à Ohain (étangs, mares, prairies humides, bois marécageux, sources du Smohain,...) et du Marais de Genneville à Jodoigne (berges de la Trislaine, sources, mares, roselière, bois marécageux, prairie humide,...).
L’entretien de l’outillage existant et son renouvellement, ainsi que l’acquisition de fournitures (huiles, carburants,...), engendrent des coûts importants. Dans le cadre de l’appel à projet du CRDG, il a été demandé la prise en charge d’une partie des coûts d’acquisition de fournitures et petits matériels, plus particulièrement l’acquisition d’une débroussailleuse ainsi que du matériel de sécurité (visière et bouchon d’oreilles) en vue de gérer les différents milieux ouverts présents au sein des réserves naturelles.

2. dans le bassin Dyle-Gette : réalisation de deux vidéos de films (« La Dyle, un avenir pour notre vallée » & « cohabiter avec le castor, une opportunité en Brabant wallon »).

Association : Club Pixel (responsable : Alain Libert)
Montant : 750 euros

2 dvd Films Alain Libert Club Pixel

C’est le 17 janvier 2017 que la projection en avant-1ère des deux vidéo-films a eu lieu au Centre culturel « Le Foyer » à Perwez. Etaient présents pour cet événement: les réalisateurs (vidéastes amateurs), les figurants (épurateurs, historiens, biologistes, riverains ...), ainsi que des représentants du CRDG et ses partenaires.

Ce projet a été entamé en 2015. Il est l’aboutissement de l’engagement d'une équipe particulièrement motivée de 6 vidéastes amateurs et d'un encadrement technique d’experts au sein des Clubs Pixel (Villers-la-Ville) et du Royal caméra club de Wavre.
Ces deux films ont également obtenu le soutien de la Province du Brabant wallon.

2 avant premiere film Libert Perwez
avant première du film -  cc Perwez

 Dans la foulée, les CD-ROM de ces deux films ont été envoyés à tous les membres du CRDG Dyle-Gette, afin de susciter leur présentation au grand public à l’occasion des Journées Wallonnes de l’eau 2017. Ce fut notamment le cas à Beauvechain, La Hulpe, Lasne, Mont-Saint-Guibert, et lors de l’assemblée générale de Natagora Brabant Wallon.
Les CD-Rom sont disponibles sur demande auprès du CRDG, pour les écoles ou tout autre organisme susceptible d’y porter un intérêt dans un objectif éducatif. Quant aux particuliers, ils peuvent visionner les deux films sur Youtube :

Film 1 « La Dyle, un avenir pour notre vallée ? », durée 23 min.

Il s’agit d’un court métrage documentaire et informatif, qui met en lumière les attraits et les faiblesses de la Dyle sur son parcours, depuis sa source à Houtain-Le-Val jusqu’à la station d’épuration IBW de Basse-Wavre.
Vous y découvrirez principalement les diverses préoccupations et activités du Contrat de rivière Dyle-Gette et ses partenaires, au travers de nombreuses interviews.

Film 2 « Cohabiter avec le castor, une opportunité en Brabant wallon ? », durée 15 min.

Ce documentaire est axé sur la présence du castor qui s’est fortement accrue dans la vallée de la Dyle. La nécessité de communiquer et de rassurer les riverains sont des critères importants pour une cohabitation durable de cet animal emblématique avec l’homme.

 3. à La Hulpe : achat de matériel pour faciliter le sauvetage des batraciens.

Association : La Hulpe Environnement (responsable : Sarah Wagschal, Présidente)
Montant : 995 euros

3 reception materiel pour sauvetage batraciens La Hulpe Environnement 3 sauvetage batraciens La Hulpe Environnement
réception matériel pour sauvetage batraciens - La Hulpe Environnement sauvetage batraciens - La Hulpe Environnement

A la fin de l’hiver, les batraciens entament leur migration printanière dans la vallée de l’Argentine, pour rejoindre les mares et étangs qui les ont vus naître et s’y reproduire à leur tour. Ces déplacements débutent dès la fin de l’hiver (fin février - début mars), par temps doux et humide, à la tombée du jour. Certaines nuits, lorsque les conditions climatiques sont particulièrement favorables (T° supérieure à 7°C), des centaines d’individus peuvent ainsi se déplacer. Si leur itinéraire croise une route, c’est l’hécatombe !
Chaque printemps, des dizaines de milliers d’animaux périssent sur les routes de Wallonie, écrasés par les voitures, parfois après une longue agonie... Chaque année, de nombreux bénévoles aident à la migration des batraciens.

Depuis deux ans, des barrières sont placées à La Hulpe, pour faciliter le sauvetage des batraciens lors des migrations.
Ces barrières mobiles sont réellement nécessaires, étant donné que les longueurs de voiries où ont lieu les migrations sont importantes et ne peuvent donc pas être complètement couvertes par des bénévoles.
En 2016, plus de 1200 batraciens ont ainsi pu être sauvés à La Hulpe.

Mais certaines routes n’étaient pas encore équipées de barrières. L’achat de matériaux écologiques et durables (ex : planches de bois et piquets) ont été une des conditions imposées par le CRDG pour l’octroi de l’aide financière.

Diverses collaborations ont été mises en place dans ce cadre avec la Commune de La Hulpe : animations dans les écoles, soirées consacrées aux batraciens, rédaction d’article pour le bulletin communal,...

Pour en savoir plus sur ce projet : cliquez ici

4. à Lasne : réalisation et placement de 6 panneaux didactiques dans la réserve naturelle du Ru Milhoux.

Association: Lasne Nature (responsable: Willy Calleeuw, Président)
Montant : 1.000 euros

4.0.panneaux reception decembre 2016 reserve du Ru Milhoux Lasne 4.1.panneau mare A reserve du Ru Milhoux Lasne Nature 4.2.panneau mare B reserve du Ru Milhoux Lasne Nature
réception des panneaux à la réserve du Ru Milhoux
panneau mare A réserve du Ru Milhoux - Lasne Nature panneau mare B réserve du Ru Milhoux - Lasne Nature

L’association Lasne Nature est propriétaire de la réserve du Ru Milhoux, affluent de la Lasne à Maransart. Cette zone humide est reconnue ZHIB depuis 1992 et classée comme Site Natura 2000.
L’entretien de cette réserve est, depuis l’origine de l’acquisition, orientée dans un but éducatif.
Pour ce faire, des aménagements sont régulièrement mis en place.

Lasne Nature est dans une phase de développement de l’information sur la vie animale et végétale présente (ou attendue) dans cette réserve naturelle. A cet effet, des panneaux d’information destinés au grand public ont été placés en deux temps. Le coût global de ces panneaux a en effet été réparti entre deux sources d’aide différentes. Un premier subside avait été octroyé en 2015 par la Province de Brabant wallon. Trois premiers panneaux avaient ainsi pu être réalisés avec comme sujets : la mare, la vie dans la mare et la roselière.
Grâce à l’aide du CRDG en 2016, trois autres panneaux d’information destinés aux visiteurs ont vu le jour. Les nouvelles thématiques abordées : les batraciens, le ruisseau et les empreintes d’animaux.
L’ensemble du projet a été complété sur fonds propres par l’association.

Pour faire mieux connaissance avec la réserve du Ru Milhoux : cliquez ici

Pour accéder aux 6 panneaux didactiques

5. à Jodoigne : réalisation et pose d’une bâche de sensibilisation à l’entrée du Domaine du Stampia.

Association : GAL Culturalité en Hesbaye brabançonne (responsable : Hélène Aimont, chargée de mission animation et valorisation du territoire).
Montant : 730 euros.

5. bache de sensibilisation au domaine du Stampia Jodoigne Gal Culturalite
bâche de sensibilisation au domaine du Stampia - GAL Culturalité

Le site du Stampia est un véritable poumon vert situé en plein cœur de Jodoigne. Sur une surface d’environ 7 hectares de terrain, il comprend de nombreux écosystèmes de milieu humide : rivière (la Grande Gette), cariçaie, prairie humide, plusieurs étangs de différentes profondeurs, ...

Autrefois privé, le domaine s’ouvre aujourd’hui au public. Les nouveaux occupants sont les Baladins du Miroir et le GAL Culturalité qui accueillent de nombreux visiteurs sur le site. Dans le cadre de sa mission d’animation, le GAL prévoit d’utiliser le « parc » comme outil de sensibilisation aux milieux humides et à la nature en général.

Ce projet-ci a consisté en la fabrication et au placement d’un panneau/bâche de sensibilisation à l’entrée du domaine. Il décrit les principaux écosystèmes rencontrés sur le site, ainsi que la faune et la flore liées à ces milieux. Les visiteurs sont donc sensibilisés à la nature dès leur entrée dans le domaine. La bâche servira aussi de support didactique lors des différentes animations sur le site.

Le soutien financier du CRDG a couvert le graphisme, l’impression de la bâche et l’achat de la structure en bois sur laquelle elle est fixée. La pose a été assurée par le GAL.

6. à Ottignies-LLN : végétalisation du cimetière de Limelette.

Commune : PCDN d’Ottignies-LLN (responsable : Dorothée Herbant, éco-conseillère)
Montant : 1000 euros

6.1. AVANT vegetalisation du cimetiere de Limelette Ottignies LLN 6.2. APRES vegetalisation du cimetiere de Limelette APRES Ottignies LLN
AVANT végétalisation du cimetière de Limelette Ottignies LLN APRES végétalisation du cimetière de Limelette Ottignies LLN

Dans le contexte des cimetières, la législation environnementale a bien évolué : à très court terme, l’interdiction d’utilisation des pesticides pour leur entretien est désormais acquis. Pour en savoir plus : consultez le Plan Wallon de réduction des pesticides ainsi que les mesures destinées aux professionnels et particuliers sur http://www.phyteauwal.be.

Avant 2014, les services communaux utilisaient environ 200 litres de produits phytosanitaires pour entretenir les 5 cimetières d’Ottignies-LLN (Ottignies centre, Blocry, Céroux, Rofessart, Mousty et Limelette). Résultats : les cimetières constituaient de véritables déserts écologiques où rien ne pouvait y pousser !
Depuis 2014/2015, le volume utilisé est descendu à 20 litres. Mais il fallait recourir à des méthodes de gestion alternative. C’est ainsi qu’un rabot de piste et d’autres moyens mécaniques (rasette, petit brûleur thermique, ..) sont venus en aide.

Pour 2016, diverses nouvelles mesures visant à « réfléchir » autrement l’aménagement des cimetières ont été mises en place :

Désormais, la Ville souhaite que les divers cimetières soient un lieu accueillant et respectueux de la nature. Les produits phytosanitaires n’y sont plus les bienvenus. Les herbicides sont remplacés en grande partie par toutes ces méthodes alternatives.
Tout ceci rend ces espaces plus verdoyants. La présence de quelques végétaux dans les allées des cimetières n’est donc pas un signe de négligence des services communaux, mais le signe d'une évolution vers une gestion des lieux plus respectueuse de l’environnement et aussi vers la protection des nappes d’eau souterraines.

L’aide financière octroyée par le CRDG a permis de placer des tapis de sedum (orpin) et de semer des mélanges divers de fleurs sauvages dans le cimetière de Limelette. Cette inititative s’est inscrite dans un programme d’entretien alternatif pour l’ensemble des cimetières de l’entité : le coût global pour l’application des nouvelles mesures sur les 5 cimetières de la Ville avoisine en effet les 15.000 euros/an.

7. à Rixensart : réalisation et placement d’un panneau didactique à la réserve naturelle éducative de l’école de Rosières

Commune : PCDN de Rixensart (responsables : Mélanie Marion et Anne Piron, Service environnement)
Montant : 338 euros

rosiere 7.2. panneau mare ecole de Rosiere Rixensart nature
zone humide école de Rosières
panneau mare école de Rosières - Rixensart nature

L’école communale de Rosières souhaitait sensibiliser le public (enfants et parents) à la biodiversité que procure la mare dans la réserve naturelle contigüe à ses implantations. Cette zone humide est située sur les bords de la Lasne. Elle offre un support pédagogioque idéal pour sensibiliser les enfants à la protection de la nature.

Une collaboration entre les bénévoles du PCDN et le Service environnement a permis l’installation de ce panneau. Le panneau servira de support aux diverses animations scolaires qui ont lieu plusieurs fois par an sur le thème de l’eau et, pourquoi pas, lors d’une prochaine fancy-fair ou autre évènement du genre destiné aux enfants et leurs parents ?

8. à Villers-la-Ville : réalisation et installation de 50 panneaux nominatifs des cours d’eau le long des voiries carrossables de l’entité.

Commune (responsable : Delphine Delaet, éco-conseillère)
Montant : 1.000 euros

8 panneau CE Le Ry de Gentilsart Villers La Ville 8 panneau CE La pecheree 2 Villers La Ville
panneau sur Le Ry de Gentilsart panneau sur La Pêcherée

La Commune de Villers-la-Ville souhaitait installer des panneaux signalétiques le long des cours d’eau, en référence au service que le CRDG avait précédemment rendu à la plupart de ses communes partenaires. C’est en effet en 2004 (communes du bassin de la Dyle) et en 2010 (communes du bassin de la Gette) que le projet avait pu être mené à bien. 600 panneaux avaient pu être installés, financés par le CRDG.

Mais à cette date, la Commune de Villers-La-Ville n’était pas encore partenaire du Contrat de rivière.
Depuis, c’est chose faite et il en a coulé de l’eau sous les ponts.... La commune bénéficiant de la présence de nombreux cours d’eau sur son territoire, elle a souhaité permettre au citoyen de se familiariser avec certains d’entres eux dont le nom était trop méconnu de ses habitants. L’aide financière du CRDG a permis la conception et l’impression des panneaux. Leur pose a été assurée courant 2016 par le Service travaux. Ces panneaux nominatifs constituent aussi un outil pédagogique pour les diverses écoles de l’entité.

Le CRDG se réjouit d’avoir vu s’étendre ce projet concret de sensibilisation sur cette nouvelle commune, ainsi que le fait que le graphisme utilisé ait été semblable à celui des panneaux déjà placés dans les communes voisines.

9. à Wavre : initialisation d’un chantier de lutte contre la Renouée du Japon en bordure de la Dyle dans le centre-ville.

Commune (responsable : Marianne Cwiek, Cellule environnement)
Montant : 1.000 euros

9.1.AVANT lutte Renouee du Japon Wavre 9.2. APRES lutte Renouee du Japon Wavre
situation avant le chantier
situation après initialisation du chantier

Ce chantier est situé sur 100 m de berges de la Dyle, à hauteur du Quai du Trompette.
La Ville de Wavre a tout récemment initié ce projet pilote visant à épuiser les renouées asiatiques implantées au bord du cours d’eau qui traverse la cité du Maka.

Le chantier s’est effectué en plusieurs phases tout au long de l’année 2016 :
- fauches successives et exportation des rhizomes ;
- placement d’une bâche biodégradable ;
- replantation de la berge avec de la végétation concurrente (diverses herbacées et arbustes indigènes), de manière à renforcer la compétition avec les renouées en apportant ombre et développement racinaire.

L’enlèvement préalable des rhizomes s’est effectué en 4 passages successifs entre mai et novembre, à la bêche et sur une profondeur minimale de 40 cm.
L’évacuation a été faite par container, camion, remorque fermée et toujours bâché, afin que toutes les mesures soient prises pour éviter la dissémination des déchets durant le transport.
Les plantations effectuées sont composées de consoude officinale, reine-des-prés... (herbacées), et de noisetiers, saules, aulnes, sureaux (arbustes).

Ce chantier devra se prolonger sur plusieurs années. Le but n’est pas d’éradiquer totalement cette plante exotique invasive, mais bien d’en atténuer la dominance locale vis-à-vis des plantes indigènes typiques des bords de cours d’eau, et ainsi diversifier quelque peu les berges de la Dyle en plein centre-ville.

A priori, c’est l’année de son initialisation que le coût annuel de ce chantier sera le plus élévé : 9.500 euros pour 2016, dont 8.500 euros pris en charge par la Ville de Wavre.

Pour en savoir plus sur les mesures de gestion de la Renouée du Japon, cliquez ici pour accéder à l’article paru dans la Lettre d’information n°29 – janvier 2017 du CRDG.

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