Contrat de rivière Dyle-Gette

vendredi 29 mars 2024

Appel à projets locaux (APL) du CRDG

Réalisations concrètes 2017 et perspectives 2018

Dans le cadre de ses missions et de son programme d’actions 2017-2019, le Contrat de rivière Dyle-Gette reconduit chaque année son appel à projets auprès de ses partenaires. Cet APL vise à l'amélioration de la biodiversité, de la qualité de l'eau ainsi que la sensibilisation des cours d'eau et leurs abords.
Pour l’édition 2017, c’est fin janvier que l’appel à projets avait été transmis aux communes et associations partenaires du CRDG. Un an plus tard, sept réalisations ont été présentées.

C’est ce 29 janvier 2018 que les différents projets réalisés tout au long de l’année 2017 ont été présentés devant la presse, sur le site du Pont Cassé à La Hulpe.
Ce site est géré par le Contrat de Rivière Argentine, comme son nom l’indique, proche des berges de l’Argentine.
Merci au Rugby Club de La Hulpe de nous avoir accueillis dans ses locaux. C’est à cette occasion que le CRDG a lancé officiellement l’édition 2018 de son appel à projets auprès de ses partenaires locaux.
Cette année, l’appel à projet s’est vu élargi à de nouveaux partenaires, afin de donner une chance à d’autres associations de saisir cette opportunité.

Concrètement, le CRDG soutient financièrement les projets à hauteur de max. 75% du coût/projet, avec un plafond de 1.000 euros max/projet.
Certaines conditions particulières viennent compléter l'octroi de l'aide du CRDG : apposition du logo du CRDG sur les panneaux didactiques, collaboration avec les PCDN en place ou les associations locales, entretien du matériel acquis, remise d’un calendrier des activités prévues, ... sans oublier un planning de procédures à respecter "à la lettre".
Pour l’année 2017, le montant total de l’aide financière octroyée par le CRDG à ses partenaires a été de 4.340 euros (pour un coût total des projets s’élevant à 9.243 euros).
Les montants octroyés ne sont pas énormes certes, mais cela est suffisant pour enclencher la dynamique d'un projet local.
Nous sommes heureux de vous faire découvrir les 7 projets locaux soutenus par le CRDG durant l’année 2017 !

CP La Hulpe 1 CP La Hulpe 2

Sept projets locaux concrets en images :

  1. Dans le Bassin Dyle-Gette : acquisition d'un data projecteur et écran pour les activités de sensibilisation et d'éducation à la nature (films, diaporamas, conférences, exposés, formations, ...).
    Association : Régionale Natagora BW (responsable : Julien Taymans, président)
    Montant : 615 euros pris en charge par le CRDG (coût global 820 euros)
    ponit 1 assemblee annuelle 28 03 2018 Natagora 2 ponit 1 assemblee annuelle 28 03 2018 Natagora 1

    Description :
    La Régionale Natagora Brabant wallon développe de nombreuses activités de sensibilisation et d’éducation à la protection de la biodiversité et de l’environnement à l’attention de différents publics-cibles : public familial, scolaire, naturaliste, politique, etc.
    Dans ce cadre, de nombreuses activités de sensibilisation, exposés et conférences nécessitent la projection de présentations sur format numérique, de films, de diaporamas, etc. Pour ne citer que quelques exemples récents d’événements : Nuit des Batraciens, Nuit de la Chouette, Nuit Européenne des Chauves-souris, Assemblée annuelle de la Régionale, Insectes & Cie, Conférence sur les chants d’oiseaux, Conférence Réseau Nature, Formation Poissons et rivières, projection du film du CDRG sur le castor, etc.
    En outre, lors de réunions internes au Bureau de la Régionale, il s’avère que la projection de documents (cartes, photographies, rapports) permettrait d’améliorer grandement l’efficacité de ces réunions.
    En vue de permettre à la Régionale Natagora Brabant wallon de développer ses actions de sensibilisation en faveur de la biodiversité, et notamment celles de nos cours d’eau et zones humides, il lui est fort utile d’acquérir un data-projecteur et un écran de projection.

  2. à La Hulpe : lutte contre les plantes exotiques envahissantes et gestion de la mare du site du Pont Cassé en bordure de l'Argentine ainsi que la réalisation d’un panneau didactique.
    Association : Groupe Contrat de rivière Argentine (responsable : Hugo Moreau, président)
    Montant : 1000 euros pris en charge par le CRDG (coût global 2000 euros).
    point 2 la Hulpe 1 point 2 la Hulpe 2
    Après Avant

    Description :
    Le Contrat de rivière Argentine et le PCDN de La Hulpe se sont tous deux lancés dans l’aventure de la lutte contre les renouées asiatiques implantées en bord de cours d’eau et plus particulièrement sur le site du pont Cassé, le long du sentier qui borde l’Argentine. Le but ici ne vise pas l’éradication, mais plutôt une restauration de la diversité végétale. Suite à l’expérience acquise depuis 2010, c'est la technique de bâchage associée à la plantation différée de petits arbustes indigènes qui a été privilégiée. Des treillis ont été installés sur les berges afin de les protéger de la contamination par les rhizomes.
    Le projet prend également une vocation de sensibilisation puisqu’un panneau d’information à l’intention des promeneurs a été installé sur le site.
    Le projet vise aussi la préservation de la mare et veille à son équilibre écologique, et plus globalement au maintien d’un maillage vert et bleu dans la vallée de l’Argentine en créant un lieu de promenade agréable. La mare et alentours sont régulièrement souillés de déchets. Dès lors un projet "propreté et respect de la nature" a été associé avec le centre sportif tout proche et ses membres, ainsi que les riverains.

  3. à Ramillies : location et perspectives d’acquisition d'une faucheuse à disques autotractée et achat de râteaux à foin, afin de faciliter l'entretien d'un pré humide à la confluence du ruisseau de Grand-Rosière et de la Petite Gette.
    Commune : CPAS de Ramillies (responsable : Jean-Sébastien Colin, Assistant social - Service du personnel)
    Association : GAL Culturalité (responsable : Hélène Aimont, Chargée de mission animation et valorisation du territoire)
    Montant : 160 euros pris en charge par le CRDG (coût global 215 euros).
    point 3 Ramillies moto faucheuse point 3 Ramillies partenaires
    point 3 Ramillies pre fauche projet 3 Ramillies site

    Description :
    La restauration d’un pré humide fait partie d’un projet mené à bien en 2015 dans le cadre de l’appel à projet de Biodibap’v3, biodiversité et bâtiments publics, lancé par la Wallonie.
    L’objectif poursuivi par le projet Biodibap’ est la réhabilitation d’une mégaphorbaie nitrophile en faveur de la faune et la flore des milieux humides via la protection d’une cariçaie, la création de mares, la restauration d’un pré de fauche, la taille de saules têtards, la plantation d’aulnes glutineux et la lutte contre la Berce du Caucase.
    Le site se situe sur les rives de la Petite Gette au niveau de sa confluence avec le Ruisseau de Grand Rosière.
    Les zones ouvertes du site sont fauchées une fois par an en fin d’été pour que, progressivement, la diversité floristique s’accroisse et qu’un pré de fauche humide apparaisse. La fauche se fait au moyen de débroussailleuses et les produits de la fauche sont mis en tas pour fournir un refuge à la petite faune.
    Cette restauration est appliquée sur 18 ares. La première fauche a débuté en automne 2015. Cette fauche serait également facilitée par l’aide d’une moto faucheuse à disques autotractée.
    Le projet a été élaboré par l’asbl Gal Culturalité en Hesbaye brabançonne qui en a assuré le suivi jusqu’à sa réalisation finale et continue à accompagner le CPAS de Ramillies pour garantir la pérennité des activités de gestion indispensable au maintien des milieux protégés, restaurés et créés.
    Le CRDG a jugé plus approprié de financer une location de faucheuse plutôt que d’investir dans une machine coûteuse pour une seule fauche annuelle ainsi que des râteaux à foin afin de faciliter le ramassage des produits de fauche.

  4. à Lasne :
    - Acquisition d’un piège photographique destiné à la réserve naturelle du Ru Milhoux à Maransart ;
    - Consolidation de clôture avec mise en place d’une barrière destinée à la réserve naturelle du Bois de l’Epine à Couture Saint-Germain.
    Association : Lasne Nature (responsable : Willy Calleeuw, président)
    Montant : 450 euros pris en charge par le CRDG (coût global 600 euros).
    point 4 lasne renard point 4 Lasne barriere
    point 4 Lasne camera point 4 lasne chevreuil

    Description :
    Lasne Nature est propriétaire de la réserve du Ru Milhoux, reconnue ZHIB et Natura 2000, depuis 1992 et de la réserve du Bois de l’Epine reprise en Natura 2000 depuis 2014.
    Dans un premier volet, Lasne Nature a souhaité pouvoir étudier et identifier plus précisément l’occupation faunistique de ses réserves naturelles. L’acquisition d’un piège photographique est la solution envisagée. Le matériel disponible aujourd’hui est performant et compétitif. Une caméra additionnée d’une carte mémoire ainsi que d’un boitier de sécurité anti vol est en fonction sur le site. Voyez en image, nos premiers « poseurs », une fouine et un chevreuil sont les premiers clichés.

    Un second volet à ce dossier comprend la mise en place d’une barrière donnant accès à la réserve du bois de l’Epine. Cette réserve est entourée sur 3 côtés par une prairie avec du bétail, le quatrième côté par la Lasne. Une clôture classique avec barbelés ceinturait le terrain et l’agriculteur (n’ayant aucun intérêt à entretenir cette clôture) acceptait que son bétail pâture librement dans la réserve. La végétation est donc menacée par le piétinement du bétail et sa consommation.
    Lasne Nature souhaite consolider la clôture et poser un portail permettant l’accès aisé au terrain lorsqu’ un véhicule est nécessaire et empêchant par la même occasion que le bétail ne puisse y accéder lui-même et piétiner les berges de la Lasne.

    Ces investissements permettent d’améliorer les connaissances générales de terrain et d'assurer la protection d’un espace naturel du piétinement abusif.
    Pour consulter la photothèque de Lasne Nature.

  5.  à Orp-Jauche : restauration de l'observatoire de la réserve naturelle du Paradis à Orp-le-Grand.
    Association : La Petite Jauce (responsable pour la Petite Jauce : André Lefèbvre, vice-président)
    Association : Culturalité (responsable : Hélène Aimont, Chargée de mission animation et valorisation du territoire).
    Montant : 465 euros pris en charge par le CRDG (coût global 620 euros).
    point 5 Orp jauche renovation observatoire point 5 Orp jauche renovation observatoire 2

    Description :

    La zone naturelle du Paradis à Orp-Jauche est une propriété de la commune d’Orp-Jauche dont la gestion et la valorisation auprès du public ont été confiées à l’association locale, La Petite Jauce.
    Ces activités de gestion et de valorisation visent notamment à conserver et restaurer les milieux ouverts de grande valeur biologique (pelouses calcaires, plans d’eau, lisières, près de fauche...) et à rendre le site accessible au public (entretien de sentiers, escaliers et observatoire).
    Le plan d’eau présent au sein du site est un point central attractif, tant pour la faune que pour le public visiteur. A ce titre, au printemps 2014, le Conservatoire Naturel d’Orp-Jauche (précédent gestionnaire) a fait construire un observatoire en bordure du plan d’eau afin d’améliorer les conditions d’observations de la faune.
    Cet observatoire est très utilisé par le public. A ce jour, les matériaux utilisés sont dégradés, et l’observatoire mérite quelques rénovation et adaptation.
    Cette rénovation a comme objectifs :
    - L’augmentation du degré d’inclinaison de la toiture pour faciliter l’écoulement des eaux ;
    - La modification de la toiture en remplaçant l’actuelle couverture en panneau bois marin totalement dégradée par de la plaque en acier imitation fausse tuile ;
    - L’amélioration du confort d’observation en remplaçant le parement actuel par un parement en bois marin dont les trouées d’observation seraient plus nombreuses et de taille et de position plus adaptées ;
    - Le placement d’un second parement pour diminuer l’entrée de lumière dans l’observatoire et ainsi améliorer le camouflage des observateurs.

  6. à Ottignies-LLN : aménagement dans les jardins potagers collectifs
    Commune : PCDN d’Ottignies-LLN (responsable : Dorothée Herbant, éco conseillère)
    Montant : 650 euros pris en charge par le CRDG (coût global 866 euros).

    - 6.1 Installation d’une pompe à bras pour valorisation de l’eau pluie au potager « Cœur de Ville » à Ottignies

    point 6 pompe coeur de ville point 6 potager coeur de ville

    Description
    :
    Sur l'ensemble du territoire d'Ottignies-Louvain-la-Neuve, sept potagers collectifs permettent actuellement à une centaine de familles de produire des légumes de qualité tout en créant du lien social. Dans le cadre d’un permis de bâtir, au "Cœur de Ville", un espace à destination d’un jardin collectif publique a été réservé. Une citerne à eau de pluie a ainsi été imposée. Toutefois, l’immeuble ne récupère pas l’eau de pluie ainsi collectée mais assume juste un rôle de tampon. De fil en aiguille, un petit groupe composé d’une dizaine de personnes se sont mobilisées et ont créé un potager. N'ayant donc pas d'accès au réseau électrique, tout naturellement les riverains ont pensé à utiliser l’eau de la citerne et d’activer son rôle tampon.

    La gestion de l’eau de pluie dans les immeubles pose soucis et les citernes à eau de pluie ne sont jamais utilisées, même si elles sont imposées dans le cadre du permis ce qui n’a plus aucun rôle tampon vis à vis des risques d'inondations.

    Valoriser l’eau de pluie contenue dans la citerne par la pose d’une pompe à bras constitue une solution toute logique. Depuis plusieurs années, la ville vise à sensibiliser les citoyens à changer leur regard sur la nature environnante et les mesures pour parvenir à se passer de pesticides. Les potagers sont des acteurs incontournables pour un travail de sensibilisation.

    -6.2 Réalisation d’une mare avec installation d’une bâche au potager « Carême en vert » à Ottignies

    ponit 6 mare Maurice careme 02 2018 point 6 mare Maurice careme 02 2018 2

    Description :
    En 2013, la Ville d’Ottignies-LLN a été saisie d’une demande par une dizaine de familles pour la réalisation d’un potager collectif dans une prairie communale. La ville a rapidement donné son accord pour la mise à disposition du terrain.
    Le potager « Carême-en-vert » regroupe aujourd’hui plusieurs familles, voisins et amis de la rue des Fusillés. Et après un démarrage lent et difficile, l’aide de la Ville, un appel à la donnerie, ... le potager a aujourd’hui des outils et du matériel ainsi qu’un espace clôturé.
    N'ayant pas d'accès au réseau électrique, le potager a pris l'habitude de fonctionner à l'huile de bras essentiellement, y compris pour la tonte. Il n’y a pas de parcelle individuelle. Le principe de base est de récolter en fonction du travail fourni. Chacun se propose pour une ou plusieurs cultures dont il sera responsable durant l'année. Plusieurs réunions par an, de discussions et de travaux collectifs, assurent l'entretien, la répartition des tâches et la bonne entente au sein du groupe.
    Depuis 2016, la ville a abandonné totalement l’usage des produits phyto, reconnus aujourd’hui responsable de la dégradation de la qualité des nappes, de problèmes de santé et d’environnement. La sensibilisation des citoyens à changer leur regard sur la nature environnante et les mesures pour parvenir à se passer de pesticides est nécessaire.

    Dès lors un point d’eau devient plus que nécessaire, une mare est ainsi créée, elle vise surtout à attirer les grenouilles, grands consommateurs de limaces, et sert de point d’arrosage.

    Cette mare a été creusée par les riverains, les terres extraites ont servi à faire une petite colline jouxtant la mare afin d’y voir s'installer des plantes pionnières. Le CRDG a été sollicité afin de soutenir financièrement l’achat de la bâche afin d’étanchéifier le point d’eau.

    Le dimanche 9 juillet le CRDG a ainsi pris part à une animation autour de la mare, de la faune et de la flore.

  7. à Wavre: lutte contre la Renouée du Japon sur 100 m de berges situées au Quai du Trompette en bordure de la Dyle et replantation des berges avec des espèces indigènes.
    Commune : Wavre (responsable : Marianne Cwiek, Cellule environnement)
    Montant : 1000 euros pris en charge par le CRDG (coût global 4020 euros).
    Pour 2016, 1000 euros pris en charge par le CRDG (coût global 9500 euros).
    point 7 AVANT lutte Renouee du Japon Wavre point 7 2016 APRES lutte Renouee du Japon Wavre
    point 7 plantation 2017 wavre 1 point 7 plantation 2017 wavre 2

    Ce chantier est situé sur 100 m de berges de la Dyle, à hauteur du Quai du Trompette.
    La Ville de Wavre a initié ce projet pilote en 2016. Il vise a épuiser les renouées asiatiques implantées au bord du cours d’eau qui traverse la cité du Maka.

    Le chantier s’est effectué en plusieurs phases tout au long de l’année 2016 :
    - fauches successives et exportation des rhizomes ;
    - placement d’une bâche biodégradable ;
    - replantation de la berge avec de la végétation concurrente (diverses herbacées et arbustes indigènes), de manière à renforcer la compétition avec les renouées en apportant ombre et développement racinaire.

    L’enlèvement préalable des rhizomes s’est effectué en 4 passages successifs entre mai et novembre, à la bêche et sur une profondeur minimale de 40 cm.
    L’évacuation a été faite par container, camion, remorque fermée et toujours bâché, afin que toutes les mesures soient prises pour éviter la dissémination des déchets durant le transport.
    Les plantations effectuées sont composées de consoude officinale, reine-des-prés... (herbacées), et de noisetiers, saules, aulnes, sureaux (arbustes).
    Ce chantier devra se prolonger sur plusieurs années, ce qui fut le cas pour 2017. Le but n’est pas d’éradiquer totalement cette plante exotique invasive, mais bien d’en atténuer la dominance locale vis-à-vis des plantes indigènes typiques des bords de cours d’eau, et ainsi diversifier quelque peu les berges de la Dyle en plein centre-ville.
    En 2017, l’action va consister à arracher les repousses de renouée afin de continuer à l’épuiser et à vérifier la fixation de la bâche.
    La renouée a recommencé à pousser mais le peuplement est déjà moins dense que l’année précédente.
    On voit apparaitre des espèces indigènes sauvages qui avaient totalement disparues avec le couvert de l’invasive.

Deux projets supplémentaires introduits :

  • à Court-Saint-Etienne : Association, Le Patrimoine Stéphanois (Court-Saint-Etienne) : acquisition et installation d’un petit pont et d’un caillebotis le long du Ry d’Hez à Tangissart, afin de favoriser la cohabitation du castor le long d’un sentier de promenade balisé.
    Cause de report du projet : nombreux partenaires concernés, d’où concertation préalable nécessaire + par la suite, destruction malheureuse des barrages de castors à plusieurs reprises.
  • à Lincent : Association, Le Comité Environnement de Lincent (CEL) : création de deux mares dans la réserve naturelle "Aux Tournants" en bordure de la Bacquelaine.
    Cause de report du projet : difficulté à constituer un dossier d’urbanisme suite à l’entrée en vigueur du nouveau CODT.

Pour l’année 2018 de nombreux projets locaux introduits après du CRDG

Que de belles avancées pour nos rivières en perspectives.  Le CRDG a inscrit un montant de 7.000€ à son budget.

En voilà déjà un avant-gout :

  • Comité d’Environnement Local de Lincent :
    « Création de deux mares dans la réserve naturelle communale « Aux Tournants ».
  • Incredible Compagny, Louvain-La-Neuve :
    « Création et aménagement d’une mare au centre de Louvain-La-Neuve, jardin de l’imprimerie Ciaco »
  • La Ville de Jodoigne :
    « Aménagement des berges de la Grande Gette à hauteur du Moulin de Zétrud-Lumay ».
  • CPAS de Ramillies, poursuite de l’APL 2017 :
    « Prestation annuelle de fauche d’un pré humide et acquisition de fourches à foin pour effectuer le ramassage des produits de fauche ».
  • Le Patrimoine Stéphanois, Court-Saint-Etienne :
    « Réalisation et placement en bordure du Ry d’Hez de 3 panneaux didactiques sur le castor : son habitat, ses mœurs et la législation en vigueur ainsi que son impact sur la biodiversité ».
  • A vot’Sentier, Walhain :
    « Placement d’un banc et d’un panneau didactique à proximité du Nil ».
  • La Petite Jauce, Orp-Jauche :
    « Réalisation et placement de deux panneaux didactiques à la réserve du Paradis, l’un sur les espèces de papillons des prairies fleuries, l’autre présentant une coupe détaillée du site avec les espèces ».
  • Le Contrat de rivière Argentine, La Hulpe :
    « Campagne de sensibilisation pour l’amélioration de la qualité de l’eau du bassin de l’Argentine ».
  • Action Environnement Beauvechain, Beauvechain :
    « Présentation du spectacle « graines de voyous » de l’asbl Ecoscénique suivi d’un débat sur l’usage des pesticides ».
  • Pixel Vidéastes Amateurs : Réalisation d’une séquence vidéo avec comme titre provisoire :
    « La réserve naturelle de Genappe, pour assurer une biodiversité optimale et durable ».
  • Amis du Parc de la Dyle, Grez-Doiceau :
    « Acquisition d’un taille-haie sur perche, matériel de gestion des réserves naturelles afin de favoriser la végétation naturelle des berges et du lit du cours d’eau ».
  • Natagora Brabant Wallon :
    « Acquisition de matériel de gestion des réserves naturelles de Natagora situées dans le bassin
    de la Dyle-Gette ».
  • Commune de Court-saint-Etienne :
    « Acquisition de matériel dans le cadre de la migration des amphibiens ».
  • Lasne Nature :
    « Acquisition de matériel d'entretien et de communication pour les réserves naturelles de l'association».

asbl Contrat de rivière Dyle-Gette - Zoning industriel, rue des Andains, 3 à 1360 Perwez - 081/24 00 40 - contrat.riviere(at)crdg.be