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L’eau « source de vie » infiniment précieuse ! Elle nous inspire, nous apaise, nous amuse, nous caresse, nous réchauffe ou nous rafraichit...nous tourmente et nous bouleverse parfois ! Elle est partout et en nous ! Tant et si bien que l’Homme lui a dédié une journée mondiale : le 22 mars !
Pourtant l’eau, les rivières et les milieux associés sont partout menacées, polluées, asséchées, gaspillées...par incivisme, négligence ou inconscience...
Durant les Journées Wallonnes de l’Eau du samedi 18 mars au dimanche 2 avril 2023, le Contrat de rivière Dyle-Gette et ses partenaires vous invitent à découvrir tous les champs des possibles pour amorcer un changement au travers une multitude de thèmes comme l’assainissement, la production d’eau potable, l’art, la lutte contre les inondations, le nettoyage des rivières, la visite/gestion de réserve naturelle, la découverte de la faune et de la flore, l’aménagement hydraulique...
Nos cours d’eau ne sont pas des poubelles, nos stations d’épuration non plus !
C’est pour rappeler ce message que les Contrats de Rivière de Wallonie et la SPGE ont lancé ce 1er juin une campagne média en radio, télévision et sur les réseaux sociaux, avec le soutien de Céline Tellier, Ministre de l’Environnement et de la Nature.
80 % des déchets marins proviennent des terres, et contribuent à alimenter le « continent de plastique ». Ils compromettent notamment les réserves en eau potable.
De nombreux déchets (flottants ou non) sont jetés directement dans les cours d’eau ou via le réseau de ruissellement (avaloirs), ou abandonnés le long des routes, et emportés par la pluie et/ou le vent. Ces déchets arrivent ainsi dans les rivières avec des conséquences désastreuses pour la faune et la flore aquatique, et finiront leurs courses en mer.
Chaque seconde, près de 137.000 mégots sont jetés par terre dans le monde (selon Eco Volontaire International).
En Belgique, ce sont plus de 10 millions de nouveaux petits détritus qui jonchent le sol chaque jour. Un seul de ces petits détritus met 10 à 15 ans à se décomposer et peut polluer jusqu’à 500 litres d’eau.
Lors d’une récente Opération Rivière Propre, un Contrat de rivière a pu récolter plus de 4 tonnes de déchets (pesés secs) en tous genre. Ceux-ci tapissaient le lit de la rivière, sur à peine 50 mètres de cours d’eau, empêchant toute vie de s’y développer. Il a fallu 15 jours de
travail pour les évacuer. Cet exemple en est un parmi tant d’autres, résultat de l’incivisme ou de la négligence de certains.
Les déchets liquides ont également un impact important, qu’ils soient liés à des pollutions accidentelles, ou jetés directement dans les éviers, ou les avaloirs, tels que les graisses de friteuse, les huiles moteurs, résidus de peinture, pesticides, produits chimiques divers, ...
Sensibiliser votre entourage : Site web : www.icicommencelamer.be
Soutenir et participer aux actions du Contrat de rivière Dyle-Gette – Isabelle DELGOFFE 0497/08 29 30 Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Dans le cadre du Contrat de rivière Dyle-Gette dont les communes et associations sont partenaires, nous leur avons proposé une collaboration afin de sensibiliser les visiteurs de leurs pages Facebook à la protection et à la restauration de la qualité des rivières.
Concrètement, ils ont reçu tous les mois la photo d'une belle rivière agrémentée d'un message symbolique à publier sur leurs pages.
Voici notre calendrier de l'année 2022 versus "rivières" ! Découvrez une photo par mois, et mettez dans votre liste de résolutions de l'an neuf, une "BA" quotidienne pour protéger la Planète et nos rivières ! C'est comme le sourire, ça ne coûte rien mais apporte tant à celui qui le donne et à celui qui le reçoit.
Le 14 septembre dernier, 10 collègues d’un service de la Commission Européenne se sont portés volontaires pour le nettoyage de la Dyle à Genappe, chapeauté par le Contrat de rivière Dyle Gette et l’ASBL Aer Aqua Terra.
Ils nous ont adressé un recueil de remerciements (traduit de l’anglais), quoi de mieux pour se booster le moral pour l’année à venir. Voici le témoignage de la porteuse de projet et de ses collègues :
Ces 22, 23 et 24 novembre, la Commune de Chastre nous a accueillis à la salle du Tensoul en bordure de l’Orne, pour trois matinées de formation riches en expérience.
- aider les communes à opérer un suivi optimal après intervention de la Zone de Secours, afin de protéger au mieux le milieu récepteur (cours d’eau ou station d’épuration) ;
- améliorer les suivis communaux lors d’épisodes de pollutions accidentelles, principalement par hydrocarbures (mise en œuvre, remplacement ou retrait de consommables).
Les efforts de restauration des cours d’eau consentis par les gestionnaires depuis la mise en œuvre de la Directive Cadre sur l’Eau (DCE) portent-ils leurs fruits ? Dans une étude récente, une équipe de recherche basée à Gand dresse le bilan du suivi physico-chimique et biologique mené depuis presque 30 ans sur la masse d’eau de la Zwalm, affluent de l’Escaut, dans les Ardennes flamandes. Leurs conclusions sont mitigées et certains parallèles peuvent être établis avec ce que l’on constate aujourd’hui en Dyle-Gette. Explications.
(Kleur)
Jonas Gerkens, ambassadeur officiel de la campagne « Ici, commence la mer », a pris le départ de la course au large avec son co-équipier Benoît Hantzperg à bord du classe 40 (Imoca), Volvo 164 pour la Transat Jacques Vabre.
C’est ce 7 novembre que le grand départ de la Transat Jacques Vabre, route du café a sonné direction Fort de France en Martinique. Ce 29 novembre, après 22 jours et 31 minutes de course et avoir parcouru 8500 km, les coudes serrés toujours dans le peloton de tête, Jonas et Benoît sont arrivés quatrièmes d’une des plus grandes courses au large.
On peut vraiment être fier de leur parcours et de leur dynamisme tout au long de cette transat à vous couper le souffle. Joli jeu de mots quand on sait que le vent n’a pas toujours été en leur faveur.
Comment faire pour ne pas résister à se rendre sur le lieu de départ, Le Havre, afin de leur souhaiter bon vent.
Le magazine « Symbioses » s'adresse aux éducateurs à l'environnement. Son numéro 132 (4ème trimestre 2021) était consacré aux inondations.
Dans la foulée des funestes événements de cet été 2021, les initiatives pédagogiques à l'attention du public scolaire et de nos concitoyens ont été nombreuses. Il s'agissait de leur proposer des grilles de lecture et des actions concrètes.
Dans la plateforme de rencontre et d'échange du Contrat de rivière Dyle-Gette, les associations bénévoles occupent une place de choix auprès des communes et des gestionnaires.
Rappelons-nous tout d'abord que ce sont une quinzaine d'associations du Brabant wallon qui furent à l'initiative de la mise en place du Contrat de rivière Dyle et affluents début des années 90.
Depuis lors, elles n'ont eu cesse de faire évoluer ce projet participatif en apportant leur contribution spécifique : implication dans les inventaires de terrain, protection de sites et gestion de réserves naturelles, vigilance le long des cours d'eau, actions d'information et de sensibilisation du public (jeune public et public familial).....
En 2021, plusieurs associations bénévoles (membres ou non membres du CRDG) ont été à la manoeuvre, .... à La Hulpe, Beauvechain, Grez-Doiceau, Ottignies-LLN ou Perwez .
asbl Contrat de rivière Dyle-Gette - Zoning industriel, rue des Andains, 3 à 1360 Perwez - 081/24 00 40 - contrat.riviere(at)crdg.be